« Votre quotidien mérite l’excellence. »
VESTE & MANTEAU
La pièce de prédilection de Claire Châtaigner est la pièce à manches, désignant les vestes et les manteaux. Cette pièce requiert le plus haut degrés de technicité et de savoir-faire mais est, avant tout, dans la garde-robe ou le vestiaire : la plus identitaire, déterminante au premier regard et que l’on reconduit de saison en saison. Elle confère toute l’allure à la silhouette !
LE BOLÉRO ALLIGATOR MATADOR
Le boléro Alligator Matador rend hommage à la peau de l’animal reproduite en 450 heures de broderies, grâce aux coquillages (patelles) percés et rebrodés accompagnés de sequins, perles et fils métalliques. Il a été présenté en presse, défilé et exposé dans les Salons Particuliers du Bon Marché à l’occasion de la thématique Olé Olé de Rossy de Palma en 2023.
ROBE DE CÉRÉMONIE
La robe de cérémonie est travaillée en lignes simples et épurées conjuguant ainsi les codes de l’élégance à la française.
LA ROBE MARGUERITE
À évènement unique, robe unique. La robe de mariée est créée et réalisée en respectant les souhaits et l’identité de la cliente dans des soieries et dentelles exclusivement françaises.
La robe Marguerite est un hommage à Marguerite Boucicaut co-fondatrice, aux côtés de son époux Aristide, du Bon Marché. Elle évoque les pétales de la fleur mais également le plumage des oies que Marguerite gardait enfant. Ce prénom est également celui de l’arrière-grand mère maternelle de Claire, modiste, couturière et cliente du Bon Marché au début du XXe siècle. Cette robe a été réalisé pendant un an tous les dimanches avec le concours de l’artiste Anne Féat Gaiss, pour le papier sculpté au scalpel et vernis à l’époxy, et Linh Huong, pour la broderie à la perle fine. Elle est exposée à l’espace « Listes de mariage et d’exception » au Bon Marché Rive gauche depuis 2022 sur un buste de la bodythèque historique de Carmen Lucini respectant la morphologie humaine.
LA ROBE MAMI WATA
La robe Mami Wata rend hommage, avec ses cheveux nattés et rebrodés sur un tulle de coton terminés par les plumes du coq du Berry et crânes de bois aux yeux swarovski, en deux mois et demi de travail, à la divinité du vodou de l’Afrique de l’ouest éponyme qui a été inspirée par sa rencontre au Château Vodou de Marc & Marie Luce Arbogast à Strasbourg en 2014 où elle est exposée. Elle a été présentée lors de la fashion week de Paris en juillet de la même année sur la thématique « Noirs effets » à la Maison Champs Elysées à Paris.
